lundi 29 avril 2013

Quand les autorités sanitaires vous nuisent

SNI_autorites-sanitaires

 

Au-delà de tous les scandales médicaux dont la presse a parlé, le pire méfait des autorités sanitaires ces dernières années est, pour moi, l’offensive qu’elles mènent contre les produits naturels de santé, dans le cadre de l’affaire dite des « allégations thérapeutiques ».
Cette affaire vous concerne directement, vous nuit directement. Mais comme il est difficile d’en parler en 30 secondes dans un flash-info, les journalistes ont occulté le problème dans les grands médias et la plupart d’entre nous ne sommes ni conscients, ni inquiets de ce qui se passe.
C’est pourtant un scandale énorme, aux répercussions beaucoup plus concrètes pour chacun de nous que les tripotages financiers de nos politiciens « normaux » qui occupent les journalistes.
Je vais vous résumer le problème :
En 2002, l’Union européenne décide de supprimer la liberté des fabricants et vendeurs de compléments alimentaires de faire des « allégations thérapeutiques » sur leurs produits, c’est-à-dire d’inscrire des phrases, des mots, des images suggérant que ce produit pourrait soigner, prévenir, traiter ou guérir une maladie, où que ce soit (site Internet, catalogue, emballage, notice…). Il s’agit de la directive 2002/46 CE. Cette directive vise aussi les noms des marques et même la forme des produits s’ils sont considérés comme « suggestifs » d’un quelconque effet sur la santé.
Par exemple si un fabricant de compléments alimentaires appelle son produit « Ménopause », il est en infraction car, à ce jour aucune vitamine, aucun minéral, aucune plante, aucun ingrédient n’est reconnu comme ayant aucun impact sur la ménopause. Le fabricant risque une amende de 450 euros par boîte non conforme, ce qui représente potentiellement des millions d’euros d’amende, y compris si le produit est dépourvu de toute dangerosité.
Cette directive interdit même aux fabricants de suggérer que leur produit pourrait combler une carence, un déficit.
Cette interdiction met fin à 2500 ans de médecine qui, depuis Hippocrate, considérait comme évident que « ton aliment est ton premier médicament ». Elle nie que, par exemple, lorsqu’on donne un extrait d’acérola (fruit très riche en vitamine C) à une personne souffrant de scorbut, on lui sauve la vie…
La raison invoquée est d’empêcher d’éventuels charlatans de vendre une poudre de perlimpinpin, tout en affirmant qu’elle agirait contre le cancer par exemple, au risque que des personnes naïves renoncent à un traitement médical à l’efficacité scientifiquement démontrée au profit de cette poudre.
L’Union Européenne décide donc de créer un comité d’experts à travers l’Agence Européenne de la Sécurité Alimentaire (EFSA), avec la mission d’examiner les produits naturels, de créer des catégories de produits et d’établir, sur la base des études scientifiques existantes, ce qui serait désormais permis aux fabricants de dire sur chacun d’eux.

L’enfer est pavé de bonnes intentions



A première vue, cela semble partir d’une bonne intention.
Dans la réalité, c’est une véritable catastrophe pour la santé publique. Cette réglementation va entraîner la disparition de dizaines de milliers de produits naturels du marché, pour les raisons suivantes :

  1. Les études scientifiques à grande échelle n’existent pas. Les bureaucrates européens sont partis du principe qu’il « suffit » aux fabricants de présenter un dossier de recherche démontrant les vertus thérapeutiques de chaque aliment. Le problème est que, pour la plupart, aucune recherche n’a été faite avec le nombre de participants et le degré de fiabilité exigés pour être admis par le comité d’experts, habitués à la procédure d’évaluation des médicaments. Non que ces aliments n’aient pas de vertu thérapeutique. Mais personne n’a les moyens ni le temps de réaliser toutes ces études, parce que n’étant pas brevetables, et les études cliniques coûtant très cher, il est impossible de les rentabiliser. Ce fut par exemple le cas du pruneau : personne n’ayant réalisé d’étude assez « scientifique » aux yeux des experts sur les effets laxatifs du pruneau, ils décidèrent d’interdire cette allégation. Des milliers d’aliments furent ainsi privés d’office de la possibilité d’être vendus avec des allégations thérapeutiques pourtant bien établies.
  2. La tâche est trop vaste. Il existe des dizaines de milliers d’aliments naturels, qui se présentent sous des formes différentes. Ainsi l’ail rose n’est pas l’ail blanc, et les espèces européennes ne sont pas les espèces chinoises. La plupart des aliments naturels agissent en synergie. Quand bien même des « études scientifiques » existeraient pour chacun d’entre eux, il serait strictement impossible à un Comité, même travaillant jour et nuit, de les examiner toutes, et plus encore les différentes combinaisons d’aliments. Il leur faudrait travailler plusieurs siècles pour rendre un avis valable sur chaque produit. Des dizaines de milliers de produits supplémentaires furent donc aussi automatiquement condamnés, faute de temps pour les étudier. Ne restaient en lice que les grands classiques, comme la vitamine D, les oméga-3, etc.
  3. Les experts sont incompétents. Trop sélectionnés pour leurs diplômes en médecine conventionnelle et surtout en « toxicologie », beaucoup sont formés à voir des poisons partout. Par contre, ils n’ont généralement aucune formation valable en nutrition, cette discipline étant elle-même dans ses balbutiements, avec les tout-récents progrès de la biologie cellulaire. La plupart de ces médecins, formés à la vieille école scientiste, ont de plus un préjugé contre les produits naturels. Pour eux, médecine rime avec médicaments chimiques, tout le reste n’étant que « remèdes de bonne-femme ». Cela joue encore en défaveur de milliers de produits naturels qui sont rayés de la liste.
  4. Opacité et conflits d’intérêts : les experts sont désignés par l’EFSA dans l’opacité totale (qui ? pourquoi ?) et sans garantie sérieuse de leur indépendance vis-à-vis des lobbys industriels. La présidente, Diána Bánáti, a été obligée de démissionner en 2012 ayant simplement « oublié » de déclarer son conflit d’intérêt avec le lobby pro-OGM International Life Sciences Institute (ILSI) où elle est retournée travailler. Une autre démission a fait grand bruit : celle du Commissaire européen en charge de la protection des consommateurs (DG SANCO), M. John Dalli, pris la main dans le pot de miel du lobby du tabac.
Le résultat est que, le 23 mai 2012, après six années d’études, le comité d’expert accouche péniblement d’une liste de… 222 allégations autorisées, sur 40 000 dossiers. On évalue de plus à des dizaines de milliers le nombre de produits naturels, et combinaisons de produits naturels, trop peu rentables pour que quiconque se soit donné la peine de constituer un dossier.
Ils tombent donc dans les oubliettes, éliminés de l’Histoire par la folie réglementariste de quelques experts européens agissant en toute opacité.

Répression aveugle


Pire encore, concernant les 222 allégations autorisées, il ne s’agit même pas d’indiquer aux patients que le produit peut les aider à soigner quoi que soit. La liste n’autorise que les termes suivants : « contribue à un état normal de… » ou encore « participe à maintenir une fonction normale », et impose des formulation techniques peu claires pour les non-spécialistes.
Par exemple, au lieu de permettre d’écrire « l’huile d’olive est bonne pour le cœur », ou « l’huile d’olive réduit le risque de maladie cardiaque », il faut écrire : « Le remplacement de graisses saturées par des graisses insaturées dans le régime alimentaire contribue au maintien d’une cholestérolémie normale. L’acide oléique est une graisse insaturée. » Charge au consommateur d’ouvrir son encyclopédie pour comprendre que l’acide oléique correspond aux acides gras présents dans l’huile d’olive.
Autre exemple, au lieu d’autoriser « la levure de riz rouge fait baisser le taux de cholestérol », les experts ont décidé qu’il faudrait écrire : « La monacoline K de la levure de riz rouge contribue au maintien d’une cholestérolémie normale ».
Les fonctions physiologiques positives reconnues aux compléments alimentaires sont niées.
Enfin, comble de la mauvaise foi, l’Union européenne fixe les doses maximales autorisées en vitamines et minéraux dans les compléments alimentaires à des niveaux dérisoires, ne permettant plus à beaucoup de compléments alimentaires d’avoir d’effet positif sur la santé

Effets pervers en cascade



Une seconde vague de 555 allégations est attendue aujourd’hui, mais vu les conditions dans lesquelles ces autorisations sont accordées, cela ne changera rien à l’issue de ce jeu de massacre. Avec les effets pervers suivants :
  1. Faute de lisibilité sur l’usage des produits, la connaissance des produits naturels par le grand public s’étiole, ainsi que l’habitude d’acheter ces produits. Cela augmente le recours à la médecine conventionnelle et aux médicaments chimiques (ce qui bien sûr, arrange l’industrie) ;
  2. De nombreux fabricants artisanaux de produits naturels, privés de débouchés, font faillite, conduisant à une baisse drastique de la diversité des produits disponibles dans le commerce, à une dégradation de la qualité, et à une augmentation des prix liées à la diminution de l’offre disponible.
  3. Le risque d’erreur chez les consommateurs et patients, augmente, l’étiquetage de la plupart des produits ne donnant plus aucune information utile sur leur usage. Si des effets indésirables ne sont généralement pas à craindre avec les produits naturels, de nombreuses personnes sont néanmoins privées de la possibilité de prévenir ou de soigner leur maladie, s’étant trompées de produit sans s’en apercevoir, et sans moyen de se détromper.
Somme toute, cette réglementation produit l’effet exactement inverse de ce qui avait été prévu. Loin de protéger le consommateur, elle prive tous les acteurs sérieux du secteur de la possibilité d’informer correctement leurs clients. Ce qui laisse le champ libre à tous les escrocs qui, par définition, ne se soucient pas des lois, et ne se privent pas de faire des allégations thérapeutiques farfelues sur leurs produits.

Un réglementation qui tue l’innovation



Mais le plus grave est que cette réglementation provoque une fossilisation générale du système de santé, privé de sa principale source d’innovation.
En effet, le progrès médical n’est pas, et n’a jamais été, organisé par les autorités. Il est absolument capital que les thérapeutes et les patients puissent essayer toutes sortes de solutions, avant de trouver la bonne, la médecine étant avant tout une science expérimentale. Car c’est grâce à ces expérimentations qu’a lieu le progrès médical,les vertus de la plupart des produits de santé ayant été découvertes par hasard, souvent par des non médecins (on pense bien sûr à la pénicilline, mais ce fut le cas de l’aspirine, des rayons X, de l’insuline, de la vitamine C, etc.)
Un exemple concret : si un médecin recommande ou prescrit de l’acérola, il peut être poursuivi en justice car les autorités considèrent que ce médecin doit utiliser seulement de la vitamine C de la pharmacie qui seul a le statut officiel de médicament. Ceci alors qu’on sait que l’acérola a naturellement exactement les mêmes vertus que la vitamine C de synthèse.
De plus, chaque personne étant différente, il n’existe pas « une bonne solution de manière générale » mais « des solutions » selon le patient, son terrain, son passé familial et son environnement. Par ailleurs, les espèces vivantes évoluent, et les remèdes d’hier ne sont pas forcément ceux d’aujourd’hui, ni ceux d’aujourd’hui ceux de demain. Le cas très concret se pose également à la médecine conventionnelle avec les antibiotiques, qui évoluent moins vite que les bactéries qui nous entourent.

Permettre le progrès médical par une indispensable marge de liberté



Pour que le progrès existe, il faut donc laisser tous les acteurs mener les plus diverses expérimentations, le rôle des autorités devant se limiter à définir ce qui est interdit.
Si, au lieu de dire ce qui est interdit, les autorités se mettent à interdire a priori tout ce qu’elles n’ont pas autorisé, plus aucun progrès n’est possible. Et c’est exactement ce qu’a fait l’Union Européenne, dans le domaine de recherche le plus prometteur du 21e siècle, la micronutrition.
Dans la pratique, les choses se passent de la façon suivante : une personne découvre par hasard que, en buvant une infusion d’écorce de saule blanc, par exemple, ses maux de tête disparaissent.
Cette personne va en parler à ses amis. La pratique va plus ou moins se développer, suivant le succès observé. Mais ce n’est qu’une fois que la réputation du produit s’est solidement ancrée que quelqu’un peut prendre le risque financier d’organiser une grande étude scientifique en double-aveugle contre placebo, qui va valider les effets réels ou non du produit. Mais pour un très grand nombre de produits naturels, qui n’ont vocation qu’à traiter des problèmes de santé rares dans des cas particuliers, ces études scientifiques ne se justifieront jamais financièrement.
Les fonctionnaires européens ne peuvent pas comprendre cette contrainte. Pour eux, la vie est simple. « Pas d’études ? Pas d’autorisation.» Et boum, le problème est évacué, tant pis si leur myopie prive un continent entier de milliers de traitement naturel prometteur.
A titre d’exemple, il suffit d’écouter M. Fréderic Vincent, porte-parole de la commission Santé au sein de l’Europe concernant la directive des allégations expliquer dans une interview : « L’idée était toute simple : faire le ménage dans les allégations de produits de santé dans l’UE, en effet on a en quelque sorte écrémé.. », (« Les compléments alimentaires, une pilule qui passe mal », documentaire de Sylvie Chabas diffusé sur France 5 le 14 avril 2013).
C’est de la barbarie. Cet autoritarisme est d’autant plus scandaleux que l’administration avait déjà, de longue date, tous les moyens nécessaires pour poursuivre les escrocs vendeurs de poudres miracles. Car dans le domaine de la santé, comme dans tous les autres domaines, le commerçant n’a absolument pas le droit de dire n’importe quoi sur ce qu’il vend.

Les lois répressives existantes étaient largement suffisantes



S’il le fait, il commet une pratique commerciale trompeuse, prévue par l’art. L 121-1-1 du Code de la Consommation. Cet article donne une liste de 22 pratiques réputées trompeuses sur l’ensemble du territoire européen, qui comprend notamment « 16. le fait d’affirmer faussement qu’un produit ou une prestation de services est de nature à guérir des maladies, des dysfonctionnements ou des malformations ».
Précisons par ailleurs qu’il s’agit d’un délit sanctionné par une amende pouvant aller jusqu’à 37 500 € et/ou une peine d’emprisonnement de 2 ans.
Bref, il était de toutes façons interdit pour un commerçant de vendre une poudre de perlimpinpin en faisant croire à son acheteur qu’elle peut soigner du cancer, des problèmes cardiaques, ou des chagrins d’amour…
Il n’était nul besoin de créer des interdictions supplémentaires.
Ainsi va l’Europe, menée par des ânes. Mais il en va cette fois de notre bien le plus précieux : notre santé. Et c’est pourquoi, tant que je vivrai, je continuerai à écrire noir sur blanc, dans Santé Nature Innovation, toutes les vérités sur les produits de santé naturelle que l’administration a si imprudemment interdits aux fabricants. Car je suis couvert par la liberté d’expression, qui n’a jusqu’à nouvel ordre pas encore été supprimée en Europe.
Et ça, nos amis bruxellois ne l’avait pas prévu.


Jean-Marc Dupuis sur Santé Nature Innovation


Pour en savoir plus, cliquez ici : http://www.santenatureinnovation.com/quels-problemes-de-sante/autres/autorites-sanitaires-allegations-therapeutiques/#ixzz2RreONDQC

jeudi 18 avril 2013

Représailles contre ceux qui critiquent les vaccins

Lorsque ce sont les personnes les plus éclairées qui boudent les vaccinations, les pouvoirs en place réalisent que leurs campagnes de vaccinations sont en péril. C’est ainsi qu’ils commencent à prévoir des sanctions contre ceux qui seraient en désaccord avec leurs plans de vaccinations de masse.

Si les moyens habituels ne leur permettent plus de l’emporter, alors ils s’orientent vers la suppression pure et simple de nos droits.

Des rapports venant d’Australie montrent que les personnes les plus éclairées et les mieux informées évitent de faire vacciner leurs enfants. Comment l’Association Médicale Australienne (AMA) va-t-elle donc réagir à pareille situation ? Tout simplement en préconisant que les enfants non vaccinés soient empêchés de fréquenter l’école et en demandant la punition de ceux qui mettent en doute le bien-fondé des vaccinations ou qui les critiquent. Le Sydney Morning Herald rapporte que le président de l’AMA, Steven Hambleton, a déclaré que ceux qui s’opposent aux vaccins « diffusent de la désinformation et doivent être sanctionnés. »

Hambleton ajoute : « Il est certain que le perfectionnement professionnel par des personnes qui sont contre les vaccinations est inapproprié et ne devrait pas être accepté. » Il demande donc que l’on restreigne la liberté d’expression de tous ceux qui sont en désaccord avec l’AMA. Il ajoute que les praticiens de médecines alternatives devraient être interdits. Il sous-entend que si une procédure médicale doit s’appliquer à telle ou telle personne, cette personne n’a non seulement pas le droit de refuser la procédure, mais personne d’autre n’a, en outre, le droit de fournir quelque information que ce soit par rapport aux raisons de son refus.

Pareille attitude ne permet plus le moindre choix. Quand la médecine moderne se heurte à un mur, laissant des gens parfois gravement endommagés par ses traitements, elle a l’audace de ne même plus permettre à ces personnes de tenter d’autres pistes. Cette « solution » est évidemment favorable à la corporation AMA !

Attaquer la liberté d’expression

Pourquoi l’AMA veut-elle attaquer la liberté d’expression ? La raison est assez simple : L’AMA n’existe pas pour le bien des patients. Elle existe, comme toute corporation, pour la promotion du business de ses propres membres.

A l’heure actuelle, les vaccins représentent une industrie énorme ; ils sont très rentables pour les médecins. Vacciner ne prend qu’une minute et il n’est même pas nécessaire que le médecin s’implique. Ce sont souvent des membres du personnel qui pratiquent l’acte. Les vaccins assurent aussi de futures visites surtout pour les enfants. Ces visites sont évidemment rentables.

Les vaccins sont une manne pour les médecins, et ils le deviennent de plus en plus avec l’ajout de nouveaux vaccins et la répétition des rappels qui sont rajoutés au calendrier vaccinal officiel, au fur et à mesure que l’inefficacité des vaccins est démontrée. Les vaccins sont bons pour le business, tout spécialement dans ce secteur où il faut bien compenser les « anciens standards » que constituaient les antibiotiques.

Gardez à l’esprit le fait que c’est le corps médical qui a initialement poussé à la consommation d’antibiotiques pour un oui ou pour un non, que cela soit justifié ou pas. C’est seulement après l’émergence de nouvelles maladies graves apparues suite à cette surconsommation d’antibiotiques que les médecins ont commencé à faire marche arrière par rapport à leurs anciennes pratiques. Mais face à ces effets dévastateurs occasionnés par leurs pratiques et au nom du bénéfice incontestable qu’une minorité de gens peuvent réellement en retirer, les médecins commencent seulement à remettre leurs prescriptions en question. Pire, ils ne reconnaissent pas le tort énorme que les antibiotiques peuvent faire, même lorsque leur usage est légitime, comme par exemple la destruction de la flore intestinale du patient qui els consomme. En réalité, le corps médical ne prend même pas position contre l’usage massif dans antibiotiques dans l’agrobusiness. Ils semblent donc presque heureux en étant là à attendre que de nouvelles maladies apparaissent avec l’usage massif de ces produits.


De nouvelles maladies

Ne vous trompez, ces maladies sont nouvelles. A chaque fois que nous apprenons l’émergence de maladies résistantes aux antibiotiques, nous découvrons que cette nouvelle forme de maladie est pire que l’ancienne forme qui avait prétendument justifié le recours aux antibiotiques. En réalité, les antibiotiques fonctionnent toujours sur les anciennes maladies : ce petit détail est généralement ignoré. Ils ont même transformé des bactéries bénéfiques en véritables tueurs. La forme pathogène de Escherichia Coli est une tueuse, alors que la forme bénéfique d’E. Coli dans l’intestin est nécessaire à la santé. Le MRSA, la forme de staphylocoque doré résistante à la méticilline, est bien plus grave que l’ancienne forme classique de staphylocoque.

Ce fut la première forme de maladie de masse résistante aux médicaments, initialement appelée « la bactérie mangeuse de chair » par les médias. Il ne s’agit pas simplement d’une maladie résistante aux traitements : c’est un nouveau tueur.

Le même genre de phénomène est en train de se produire avec les vaccinations, bien que vous n’aurez bien sûr jamais d’explications fournies à ce sujet par l’industrie pharmaceutique ou par les médecins qui les administrent. La coqueluche refait surface sous une forme plus virulente et ceci est le résultat direct des vaccins. Et bien sûr, la réponse à ces épidémies est de faire encore plus de vaccinations… et maintenant de faire des vaccinations forcées en punissant même ceux qui critiquent ces façons de procéder ! Pour ceux qui diront la vérité qui ternit leur beau discours, il y aura des punitions. Le groupe de l’Association Médicale Australienne, avec sa puissance financière et son influence, est en train de pousser à cela.

Fausses affirmations

Ils font de fausses affirmations, selon lesquelles « c’est scientifiquement prouvé » comme a déclaré Hambleton. Le site de Gaia Health regorge d’informations basées sur des données véritablement scientifiques, qui démontrent clairement à quel point ce genre d’affirmation est fausse.

Les attaques contre le Dr Wakefield, qui ont entraîné le retrait d’un article de journal, sont citées à de nombreuses reprises comme preuves que les vaccins sont sûrs. Si la chose était vraie, pourquoi ne présente-t-on pas une seule étude qui compare effectivement des enfants vaccinés à des enfants non vaccinés ? Cette comparaison ne se fera jamais ; ils refusent de la faire. Le Dr A.Wakefield a en fait servi de merveilleux bouc émissaire !

Lorsque vous entendez des histoires du genre « un pauvre bébé innocent » est mort d’une maladie « qui aurait pu être évitée par la vaccination », donnez-vous la peine de poser cette question : quel était le problème avec les anticorps induits par le vaccin – anticorps qui, selon la théorie sont tout ce qui est nécessaire pour prévenir la maladie et qui devraient être fournis par la mère vaccinée ? N’auraient-ils pas dû protéger le bébé ? Sinon, pourquoi ne l’ont-ils pas fait ?

Encore et encore leurs traitements se révèlent être plus nuisibles que bénéfiques. Il a été démontré que leur prétention d’avoir allongé la durée de vie est complètement fausse. Les signes sont aujourd’hui apparents que la durée moyenne de vie diminue et quand elle ne diminue pas, les gens finissent leur vie dans un état débile ou atteints de maladies chroniques à charge de toute la société.

Néanmoins, ils insistent pour se faire passer pour les seuls arbitres de la vérité ; ils insistent pour montrer qu’ils ont le pouvoir de faire taire toute personne qui détient un point de vue différent ; ils insistent pour dire qu’ils ont le pouvoir d’imposer leur volonté à tout le monde, sans même avoir à assurer la responsabilité de tout préjudice dû au non respect de nos droits les plus fondamentaux.
Source: Gaia Health via Les Chroniques de Rorschach

samedi 23 mars 2013

Les vertus de l'ail

L'ail s'avère 100 fois plus efficace que les antibiotiques et agit en un temps record


ail.jpgUne découverte significative de l'Université de l'État de Washington montre que l'ail est 100 fois plus efficace que deux antibiotiques populaires pour combattre des maladies causées par des bactéries responsables de toxi-infections alimentaires.

Leur travail a été publié récemment dans le Journal de Chimiothérapie Antimicrobienne, une suite des précédentes recherches de l'auteur dans Microbiologie Appliquée à l'Environnement qui a démontré de manière concluante qu'un concentré d'ail était efficace pour inhiber la croissance de la bactérie Campylobacter jejuni.

L'ail est probablement l'un des plus puissants aliments naturels. C'est l'une des raisons pour laquelle les gens qui suivent un régime méditerranéen ont des vies aussi saines et longues. L'ail est aussi très performant en laboratoire de recherche.

« Ce travail me passionne beaucoup parce qu'il montre que ce composé a le potentiel de réduire des bactéries pathogènes de l'environnement et de nos aliments » a dit Xiaonan Lu un chercheur docteur en sciences et auteur principal de l'article.

L'une des découvertes les plus intéressantes est que l'ail augmente le niveau global d'antioxydants dans le corps. Scientifiquement connu sous le nom d'Allium sativa, l'ail est célèbre dans l'histoire pour sa capacité à combattre les virus et les bactéries. Louis Pasteur a remarqué en 1858 que les bactéries mourraient quand elles étaient arrosées d'ail. Depuis le Moyen-Âge, l'ail a été utilisé pour guérir les blessures, broyé ou en tranches et appliqué directement sur les blessures pour inhiber la propagation de l'infection. Les russes nomment l'ail, la pénicilline russe.

« C'est la première étape vers un développement ou une réflexion vers de nouvelles stratégies d'intervention », a dit Michael Kokel, co-auteur de recherches sur le Campylobacter jejuni pendant 25 ans.

« Le Campylobacter est une des causes bactériennes les plus fréquentes des toxi-infections alimentaires aux États-Unis et probablement dans le monde » a dit Konkel. Quelque 2,4 millions d'américains sont atteints chaque année d'après le Centre américain de Contrôle et de Prévention des Maladies, avec des symptômes comme de la diarrhée, des douleurs abdominales et de la fièvre.

Les bactéries sont également responsables dans presque un tiers des cas du déclenchement d'une maladie paralysante rare connue sous le nom de syndrome de Guillain-Barré.

Le disulfure de diallyle est un composé organosoufré dérivé de l'ail et de quelques autres plantes de la famille Allium. Il est produit pendant la décomposition de l'allicine libéré quand on écrase l'ail.

Lu et ses collègues ont observé la capacité du disulfure de diallyle à tuer les bactéries quand elles sont protégées par un biofilm visqueux (sécrété par la bactérie, NdT), ce qui les rend 1000 fois plus résistantes aux antibiotiques que les cellules bactériennes flottant librement. Ils ont découvert que le composé peut facilement pénétrer le biofilm protecteur et tuer les cellules bactériennes en se combinant avec un enzyme contenant du soufre, et de ce fait changer la fonction de l'enzyme et bloquer efficacement le métabolisme de la cellule.

Les chercheurs ont découvert que le disulfure de diallyle était aussi 100 fois plus efficace que les antibiotiques appelés érythromycine et ciprofloxacine et qu'il agit souvent en un temps record.

Deux travaux précédents publiés l'an dernier par Lu et ses collègues de l'université en Microbiologie Environnementale et Appliquées et en Chimie Analytique ont montré que le disulfure de diallyle et d'autres composés organo-sulfurés tuaient efficacement des pathogènes d'origine alimentaire tels que le Listéria Monocytogénès et Escherichia Coli O157 : H7.

« Le disulfure de diallyle peut être utile pour réduire le niveau deCampylobacters dans l'environnement et pour nettoyer le matériel de transformation industrielle de l'alimentation, car on trouve dans les deux cas la bactérie dans le biofilm » a dit Konkel.

« Le disulfure de diallyle pourrait rendre beaucoup d'aliments moins dangereux » a dit Barbara Rasco, co-auteur des trois derniers articles et conseillère de Lu pour son doctorat en sciences alimentaires. « On peut l'utiliser pour nettoyer les surfaces de préparation alimentaire et comme conservateur dans les aliments emballés comme les salades de pâtes et de pommes de terre, les salades de choux et de la charcuterie ».

« Ceci ne prolongerait pas seulement la durée de consommation mais réduirait aussi la croissance de bactéries potentiellement nocives » a-t-elle dit.

La substance naturelle peut aussi être obtenue sans l'introduction artificielle de produits chimiques dangereux qui perturberaient ses capacités de réduction des maladies.

Ironiquement, beaucoup de chercheurs pensent que les antibiotiques peuvent être l'un des nombreux facteurs qui contribuent à obstruer les intestins des jeunes enfants.
 
 
Traduit par Bistro Bar blog
http://www.wakingtimes.com/2013/01/29/garlic-proven-100-times-more-effective-than-antibiotics-working-in-a-fraction-of-the-time/
lu sur le nouveau paradigme

dimanche 10 mars 2013

Le cartel pharmaceutique





Comment nous sommes passés d'Hippocrate à Rockefeller... Comment nous sommes passés de "mieux vaut prévenir que guérir" à "mieux vaut soigner que guérir"... H1N1 : Plusieurs membres de l'OMS sont liés aux compagnies pharmaceutiques : (...)

Une vidéo accablante de MathieuPicardwillman, publiée par youtube.com et relayée par SOS-planete