mardi 31 juillet 2012

Le Marketing de la Folie

Le marché des psychotropes rapporte gros. L’alliance entre la psychiatrie et les firmes pharmaceutiques leur a permis de réaliser plus de 80 milliards de dollars de ventes de psychotropes. Mais les apparences sont trompeuses. Que valent les diagnostics psychiatriques, et jusqu’à quel point ces psychotropes sont-ils sans danger?
Ce documentaire révèle les faits derrière le vernis social d’un marketing habile et soi-disant scientifique qui dissimule une campagne de vente de produits dangereux et parfois fatals.

Aux yeux des psychiatres et du DMS, le manuel des diagnostiques psychiatriques, nous sommes tous fous, sans exception.


source: jaiundoute.com

Silence, on vaccine

Suite à l’augmentation des cas d’autisme et autres désordres immunitaires chez certaines personnes particulièrement vulnérables, plusieurs spécialistes reconnus remettent en question la sécurité de la vaccination à grande échelle. En dépit de l’importance de ces effets secondaires, les compagnies pharmaceutiques, la profession médicale et les autorités gouvernementales continuent de jouer à l’autruche, refusant d’y voir un problème sérieux. Au Québec, aux États-Unis et en France, comme dans la plupart des pays industrialisés, les victimes sont presque sans recours malgré la haute toxicité de substances telles que le mercure et l’aluminium, qui entrent dans la compostion des vaccins.

Avec ce documentaire choc, Lina B. Moreco fait la lumière sur cette inquiétante problématique de santé publique.



source: jaiundoute.com

Éteindre la lumière pour prévenir la dépression

À la nuit tombée, la moindre source de lumière, par exemple la diode rouge qui reste allumée lorsqu'un téléviseur est en veille, peut conduire à la dépression, d'après une étude publiée le 24 juillet. La seule solution : se plonger dans le noir le plus complet, en éteignant toutes les lumières. 

C'est la dernière étude en date qui établit un lien entre les lumières nocturnes et la dépression. Les chercheurs estiment également que regarder la télé ou surfer sur internet tard dans la nuit peuvent aussi plonger dans des états dépressifs. 

La méthode  

Dans le cadre de cette étude, des hamsters exposés à une lumière tamisée pendant la nuit, sur une période de quatre semaines, ont montré par la suite des signes de dépression : les rongeurs s'intéressaient moins à l'eau sucrée qu'ils lapaient allègrement par le passé, en comparaison avec le groupe de contrôle. 

Ces résultats indiquent que l'exposition à des lumières artificielles la nuit pourrait avoir contribué à la hausse du taux de dépression chez les humains depuis 50 ans, d'après la chercheuse Tracy Bedrosian, de Ohio State University aux Etats-Unis. 

«L'avènement de la lumière électrique a permis aux humains de se départir des cycles naturels du jour et de la nuit», ce qui peut avoir potentiellement troublé nos rythmes biologiques, d'après Tracy Bedrosian. 

La solution  

«Les personnes qui se couchent tard en restant devant la télé ou l'ordinateur, peuvent contrecarrer certains des effets néfastes en revenant à un cycle lumière-obscurité et en minimisant leur exposition à la lumière artificielle pendant la nuit», explique Tracy Bedrosian. 

Des études antérieures ont démontré que l'exposition à la lumière artificielle pendant la nuit pouvait augmenter le risque de prise de poids et de certains types de cancer. 

L'étude a été publiée en ligne par la revue Molecular Psychiatry.

 
Source: Canoë via WikiStrike

lundi 30 juillet 2012

Plus de deux millions d'animaux retrouvés mystérieusement morts en juillet 2012 !

Des animaux meurent un peu partout à travers le monde depuis 2010, et le rythme des décès est exponentiel ! En juillet, nous battons tous les records, nous parlons d’un « mois de l’horreur » pour la biodiversité. En effet, plus de deux millions d’animaux auraient péri dans nos océans, rivières, lacs…  un chiffre à peine croyable rapporté par le site  poleshift.
 
Alors, que se passe-t-il réellement ? La communauté scientifique ne s’explique toujours pas. Cause naturel ? Rejet de méthane suite au mouvement des plaques tectoniques ? Diminution du magnétisme terrestre ? C’est fort probable puisque l’activité sismique comme volcanique est également en hausse marquée et que le magnétisme terrestre s’éteint à un rythme inquiétant. Allons-nous vraiment vers un basculement des pôles imminent ?

Le fait que nous n'ayons aucune réponse de la part d'experts ne laisse présager rien de bon.
 
Alexander Doyle pour WikiStrike



La liste non exhaustive des morts d'animaux en juillet 2012

Une étude scientifique démontre que le fluor abaisse le QI

En vérité, le fluor est un résidu toxique de la fission nucléaire incorporé dans l'eau du robinet et l'alimentation afin d'annihiler les pouvoirs paranormaux des êtres humains. Bon appétit !
 
Si le lien scientifique entre l'exposition au fluorure et la fameuse diminution du QI est une théorie du complot, alors les chercheurs de Harvard qui viennent de confirmer ce lien devraient sans doute être enduits de goudron et de plumes par les médias de médecine factuelle. Lors d’un bilan percutant sur diverses études démontrant la capacité du fluorure à endommager d’une manière significative le cerveau, et par la suite le QI, des scientifiques de l’université de Harvard ont déclaré : « nos résultats confirment la possibilité d'effets néfastes de l'exposition au fluorure sur le développement neurologique des enfants. »

Dans cette étude, l'endroit où elle a été publiée est la chose la plus hors du commun. Les auteurs ont publié leur conclusion en ligne, dans la 20e édition de juillet d’une revue de premier plan, Environmental Health Perspectives, un journal médical du gouvernement fédéral, issu de l'Institut national des sciences de la santé environnementale de Zunie. De ce même gouvernement qui n’a cessé d'affirmer que la fluoration de l'eau est à la fois parfaitement sûre et « efficace » pour favoriser la santé du citoyen qui la consomme chaque jour. [Ndt : L’eau du robinet est aussi fluorée en France.]


Dans le passé, le gouvernement zunien a effectivement été contraint
d’exiger de plus faibles taux de fluor, car une recherche antérieure avait aussi établi un lien entre l'exposition au fluorure et une foule d'effets neurotoxiques. Dans la dernière recherche de Harvard, le degré de toxicité que peut avoir le fluorure pour l’organisme est rendu encore plus explicitement clair. Dans une déclaration écrite, les chercheurs indiquent :

« Les enfants des endroits hautement fluorés avaient un QI significativement plus faible que ceux qui vivaient en des lieux faiblement fluorés. »


Le fluorure abaisse le QI et déclenche la croissance des tumeurs


Cela ne devrait pas étonner ceux qui ont suivi la recherche sur le fluorure durant ces dernières années. Dès 1977, par exemple, des études épidémiologiques réalisées par le Dr Dean Burk, chef de la Section Cytochimie de l'Institut national du cancer, révélaient que l'exposition au fluorure favorise la croissance des tumeurs – même à une concentration aussi faibles que 1 ppm [*] (la norme pour l'eau potable en Zunie). Au-delà de révéler l’accélération de 25% du taux de croissance des tumeurs de 25%, 
cette recherche a découvert que le fluorure produit des tumeurs mélaniques, transforme les cellules normales en cellules cancéreuses et augmente le pouvoir cancérigène d'autres produits chimiques.
[* Ndt : C’est-à-dire, une partie par million, 1 millionième ou 1 milligramme par kilogramme (litre) d’eau.]


En 1977, d’après ses recherches, le Dr Burk avait estimé que la fluoration était en réalité à l’origine d’environ 10.000 morts.


Il ne surprendra donc pas que même l'EPA – un organisme chargé de la protection des gens – 
avait classé le fluorure dans les substances « ayant des signes de toxicité évidents pour le développement de l’être humain ». Sans doute l'EPA est aussi dirigé par des théoriciens du complot pleurant comme des veaux. Une autre fiche des auteurs de l'étude explique la capacité du fluorure à attaquer réellement le cerveau des enfants à naître et, pour l’essentiel, à s’attaquer directement à leur développement neurologique :

« Le fluorure traverse facilement le placenta. Pour le cerveau en développement, bien plus vulnérable aux dommages provoqués par les substances toxiques que le cerveau mature, l'exposition au fluorure peut éventuellement entraîner des dommages de nature permanente. »


Mais le gouvernement de Zunie réagira-t-il à l'étude ? Comme mentionné précédemment, de nombreuses études ont mis en évidence la même corrélation entre prise de fluorure et réduction du QI. Paul Connett, docteur et directeur du réseau Fluoride Action, a été l'un des nombreux militants à s'exprimer au sujet de la dernière étude mettant en évidence cette association. À l'époque, il y avait 
23 études antérieures sur la question, et Connett a estimé que cette étude, la 24e, est de loin la plus solide. Et qu’est-ce qui a été fait ? Malheureusement, elles ont été balayées sous le tapis par les organismes de santé traditionnels, qui affirment toujours que le fluorure est parfaitement sans danger. Certains recommandent même de prendre des pastilles de fluorure en complément.


En ce qui concerne la dernière étude révélatrice, Connett a déclaré :

« Dans cette étude, nous avons trouvé une importante relation dose-réponse entre le taux de fluorure dans le sérum et le QI des enfants... Cette étude est la 24e a avoir découvert cette association, mais cette étude est la plus solide de toutes. »


Est-ce que la dernière étude sponsorisée par Harvard sera ignorée par les grands organismes de santé publique, ou initieront-ils un sérieux changement ?


Autre source : 
Reuters via wikistrike

Original :
  
naturalsociety.com/harvard-study-published-federal-govt-journal-confirms-fluoride-lowers-iq/
Traduction copyleft de Pétrus Lombard

Que mangera-t-on dans vingt ans ?

A quels nouveaux aliments nos estomacs affamés devront-ils bientôt s'habituer ? Si l'on en croit la BBC, qui consacre un long article à la physionomie de nos menus d'ici vingt ans, notre régime alimentaire va être fortement bouleversé par la disparition de la viande, dont le prix pourrait doubler d'ici cinq à sept ans. Une flambée des prix qui fera des steaks et des filets mignons des "produits de luxe"inaccessibles à la plupart des foyers.
Pour pallier ce manque de protéines, nous pourrions vraisemblablement trouver dans nos assiettes de la viande de synthèse développée en laboratoire, mais aussi des insectes. Ceux-ci présentent en effet une valeur nutritive équivalente à la viande, pour un coût financier et écologique moindre. Une richesse déjà exploitée en Afrique et en Asie, mais qui l'est peu dans les pays occidentaux. Un constat qui devrait rapidement changer, pour la BBC, qui souligne ainsi que les Pays-Bas ont récemment investi 1 million d'euros dans la recherche sur les régimes à base d'insectes, pour préparer notamment une législation sur l'élevage d'insectes.
Que les entomophobes se rassurent, les insectes ne devraient pas atterrir entiers dans nos assiettes, mais plutôt dans des préparations comparables à ce que nous connaissons déjà aujourd'hui, tels des "saucisses ou des burgers d'insectes". Et, ce qui permettra de varier les mets, la BBC recense pas moins de 1 400 espèces consommables par l'être humain.
Les quelque 10 000 variétés d'algues recensées devraient venir compléter nos menus. "Certains spécialistes de l'industrie alimentaire affirment que la culture des algues devrait devenir le plus important type de culture au monde dans un futur proche", affirme la BBC.
Plus étonnant, nous pourrions également retrouver dans nos assiettes des aliments phoniquement enrichis. "S'il est bien connu que l'apparence et l'odeur des aliments ont un rôle dans notre alimentation, l'effet du son sur notre goût est également un domaine de recherche en pleine expansion", note la BBC, citant une étude de l'université d'Oxford qui prouve que certains sons rendent les aliments plus doux ou plus amers.
Le chef Heston Blumenthal s'est déjà emparé de cette propriété dans son restaurant The Fat Duck, élu meilleur établissement d'Angleterre. Il sert en effet un de ses plats de crustacés avec un iPod diffusant des bruits de mer. Interrogés à la suite de l'expérience, les clients ont ainsi l'impression que les produits sont plus frais. A l'avenir, l'emballage des aliments pourrait donc inclure un son spécifique, voire une playlist recommandée lors de la consommation, souligne la BBC.
 
Source: Big browser via WikiStrike

mardi 24 juillet 2012

UNE MÈRE ARGENTINE CONTRE MONSANTO ET LES PESTICIDES

Le combat de Sofia Gatica contre Monsanto, géant des OGM, a commencé il y a 13 ans, après le décès d'un de ses bébés d'une malformation des reins

(Buenos Aires) En Argentine, pays du soja roi, un procès historique couronne le combat d'une mère contre les pesticides.

En 2001, Sofia Gatica était une femme au foyer, sans diplôme ni passé militant. En 2012, cette mère argentine a décroché la plus haute distinction environnementale, le prix Goldman, surnommé le «Nobel vert». À la clé, une belle somme d'argent mais surtout une reconnaissance «qui donne le courage de continuer à lutter», confie la lauréate de 45 ans. Car cette grande blonde s'est attaquée à un géant : le soja OGM et ses dommages collatéraux.

À son initiative, se tient ces jours-ci un procès historique. Pour la première fois en Amérique latine, des producteurs de soja sont jugés pour fumigation de pesticides sur une zone habitée.

«J'ai appris à me battre pour mes enfants, notre droit à la santé, à la vie», raconte-t-elle. Tout commence il y a 13 ans, après le décès d'un de ses bébés d'une malformation des reins, dont elle parle encore avec émotion. Elle réalise alors que de nombreuses maladies inexpliquées frappent son quartier d'Ituzaingo, périphérie ouvrière de la ville de Cordoba. Ici, leucémies et cancers; là, becs de lièvre, allergies, problèmes neurologiques...

Taux de cancers plus élevé

Les études qu'elle réclame confirment ses observations. Sur 5000 habitants, le taux de cancers est 41% plus élevé qu'au niveau national. Et deux fois plus d'enfants ont des produits toxiques agricoles dans le sang.

(...)

 

Pour lire la suite, cliquer ICI


Un article de lapresse.ca via comment va la belle bleue ?

La viande mauvaise pour nos intestins ?

Depuis la deuxième moitié du XXème siècle nos intestins semblent moins bien se porter. Plusieurs maladies jusqu’alors rares ont vu leur fréquence augmenter ce qui n’a pas manqué de questionner médecins et chercheurs. Parmi les facteurs suspectés d’avoir joué un rôle, l’alimentation qui a beaucoup évoluée en peu de temps, influe de manière décisive sur notre état de santé. Nos habitudes de consommation de viande se révèlent délétères pour nos intestins.
 
Pourquoi la viande ?
 
La viande fait partie des aliments qui étaient pendant longtemps couteux à l’achat ce qui rendait leur consommation plutôt hebdomadaire que bi-quotidienne comme c’est le cas actuellement. Manger de la viande une à deux fois par semaine était un bon rythme. Aujourd’hui, manger de la viande deux fois par jour, au sein d’un plat “idéalement” composé de légumes et de féculents est une règle retrouvée sur pratiquement tous les menus des restaurants français. Les plats végétariens ou proposant des sources de protéines végétales étant encore très minoritaires.

L’industrialisation de l’alimentation a permis l’accès aux viandes pour “tous” à un prix plus abordable et d’une consommation occasionnelle de viande, nous sommes passés à une consommation pluri-quotidienne le plus souvent. La rapidité du changement semble pourtant ne pas s’être faite sans conséquences sur notre santé.
 
Les maladies intestinales parmi lesquelles ont peut citer les cancers digestifs, les maladies inflammatoires intestinales (maladie de Crohn par exemple), la diverticulose colique etc. ont connu une véritable croissance au cours du siècle passé. Le déclenchement de ces maladies ne se fait pas sur un seul facteur, mais sur plusieurs. En revanche, la plupart des facteurs qui favorisent ces maladies sont alimentaires, donc modifiables. Parmi les facteurs les plus faciles à corriger, se trouve la consommation de viande.
 
Quelle viande pour quelles maladies ?
 
La viande qui pose le plus problème à notre corps est la viande rouge. Dans toutes les études, elle se retrouve incriminée en augmentant le risque de toutes les maladies digestives.
 
  • Le cancer du colon
Concernant le cancer du colon (voir la petite photo au tout début de l’article), la viande de bœuf, de porc et d’agneau à raison d’une fois par jour augmente le risque de développer un cancer de 2,49 (le chiffre 1 témoignant de l’absence d’augmentation du risque- RR=2,49 avec IC à 95% 1.13-3.15 – p=0,01) selon une étude faite sur 88 751 femmes entre 39 et 59 ans par rapport aux femmes consommant ces viandes moins d’une fois par mois (1). Les viandes transformées et le foie étant également associées à une augmentation du risque de cancer du colon. En revanche, les poissons et le poulet sans peau n’étaient pas associés à une augmentation du risque de cancer du colon.

La raison principale avancée pour expliquer cette augmentation du risque de cancer en consommant de la viande rouge est la création d’agents chimiques cancérogènes tels que les nitrosamines lors de la cuisson ou le traitement de la viande (2). Paradoxalement, le poulet et le poisson contiennent autant si ce n’est plus de ces molécules cancérogènes créées lors de la cuisson, mais pour autant, leur consommation ne semble pas augmenter le risque de ces cancers.
 
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Relation entre cancer colorectal et consommation de viande 

Partout où la viande de bœuf est consommée en grande quantité dans le monde, le cancer colorectal se développe. Des pays tels que le Japon ou la Corée, qui rapportent une consommation de porc élevée, ont un taux de cancer colorectal intermédiaire alors que les populations consommant très peu de viande bovine ont peu de cancers colorectaux (3). En même temps que les importations de bœuf ont augmenté au Japon et en Corée, le risque de cancer colorectal a lui aussi augmenté. Le fait que seule la viande rouge soit associée à un risque élevé de cancer colorectal serait dû à la présence dans la viande de bœuf de virus propres à ces animaux, résistants à la chaleur. En présence des agents cancérogènes produits par la cuisson, ces virus bovins attaqueraient la paroi intestinale humaine, créant ainsi des infections latentes dans nos intestins, prêtes à se cancériser en cas d’exposition prolongée et répétée aux agents cancérogènes.
 
 
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Développement du taux de cancer colo-rectal
 
Le fer héminique contenu dans la viande rouge (le terme “viande rouge” correspondant dans les études au bœuf mais aussi au veau, agneau, porc, canard, oie, lapin, cheval et abats) est également impliqué dans les mécanismes de création du cancer (10). L’oxydation du fer de la viande dans le corps conduit à l’apparition de blessures au niveau des cellules (ADN, lipides, protéines intracellulaires) qui à la longue semble favoriser l’émergence de cancers (11). A l’inverse, les plantes sont très riches en anti-oxydants et vont s’opposer à l’oxydation des cellules, protégeant ainsi notre corps de l’oxydation et des blessures cellulaires.

  • Les maladies inflammatoires intestinales
 
La maladie de Crohn et la recto-colite hémorragique, tout comme le cancer colorectal, se développent sur plusieurs facteurs de risque dont l’alimentation. La maladie de Crohn et la recto-colite hémorragiqueprovoquent des inflammations du revêtement interne de l’intestin (muqueuse) qui érodent les vaisseaux jusqu’à les “percer” et entrainer des saignements digestifs à répétition, associés à des diarrhées et douleurs abdominales pénibles. La viande rouge fait une fois de plus, partie des aliments qui augmentent le risque de développer une maladie intestinale inflammatoire (4). Une étude cas-témoins portant sur les habitudes alimentaires avant l’apparition de ces maladies menée chez 243 patients retrouvait une association positive entre la consommation de viande rouge, de viande transformée et le développement de la maladie de Crohn.

A plus grande échelle, une étude de cohorte française réalisée sur 67 581 femmes entre 40 et 65 ans pendant 10,4 ans a montré une association positive entre le développement d’une maladie intestinale inflammatoire et une consommation élevée de protéines animales, notamment la viande et le poisson (HR=3.31 avec IC à 95% 1.41–7.77 – p=0.007). Pour ces maladies inflammatoires, les explications se rapprochent de celles concernant le développement du cancer colorectal. La viande n’est pas totalement absorbée au début des intestins (intestin grêle) et va se retrouver dans le colon où elle sera dégradée par les flore digestive du colon en plusieurs dérivés dont certains seraient toxiques pour la muqueuse colique. Ces composés toxiques pour le colon créeraient ainsi des blessures au niveau de ces cellules, entrainant une réaction inflammatoire et immunitaire menant aux symptômes de la maladie (5).
 
 
  • Diverticulose colique
 
Une autre pathologie liée à l’alimentation “occidentale” riche en viandes (9). Cette maladie des intestins se manifeste par des petites poches qui se forment sur la muqueuse colique et dans lesquelles les matières fécalesvont stagner. La stagnation de ces petites quantités de selles peut créer des infections locales, une réaction inflammatoire, voire une perforation dans l’abdomen (péritonite) ou des saignements digestifs (rectorragies) du fait de l’érosion des vaisseaux sanguins. Une étude de cohorte menée chez des végétariens (vegans inclus) et non-végétariens retrouvait un risque moindre (31% de moins soit RR=0,69 avec IC à 95% 0.55-0.86 – p=0,003) chez les végétariens (6).

Une autre étude s’intéressant à la prévention de la diverticulose colique retrouvait un risque de diverticuloseaugmenté pour la viande rouge (RR 3.23, IC à 95% 1.47-7.08, p=0.01) le porc et l’agneau (7).
 
  • Constipation
 
La consommation de viande rouge est également associée à la constipation ; un problème qui touche de plus en plus de personnes. Ne serait-ce qu’aux urgences où j’ai travaillé durant quelques mois, au moins 2 à 3 personnes venaient consulter pour constipation par jour, et un nombre encore plus élevé de personnes ne venant pas consulter pour constipation l’étaient. Diverses études ont montré que les végétariens étaient moins sujets à la constipation, mais cette constatation semble moins due à l’absence de consommation de viande qu’à l’augmentation des apports en fibres (8,9). Je n’ai pas trouvé d’étude dont le sujet était précisément l’association de la constipation à la consommation de viande rouge, mais dans les aliments qui permettent d’éviter la constipation, la viande n’est jamais mentionnée en raison de sa composition. Gardons également à l’esprit que pour augmenter sa consommation d’aliments riches en fibres, il faut bien diminuer sa consommation d’aliments qui ne le sont pas : les viandes rouges en l’occurrence.
 
  • Autres maladies digestives et perspectives
 
Les maladies intestinales que nous avons exploré dans cet article ne sont pas les seules dont la survenue est augmentée par la consommation de viande. D’autres maladies telles que le diabète, les maladies cardio-vasculaires, les cancers de l’estomac, de la vessie, la maladie d’Alzheimer sont favorisée par la viande (11).

Soulignons que la viande n’est à ma connaissance pas recommandée pour améliorer l’état de santé d’une personne. Pour nombre de médecins et combien de personnes la viande est associée à la garantie d’avoir des muscles et un bon poids ; mais cette réputation est mise en défaut par l’existence des protéines végétales qui sont tout aussi nourrissantes.
 
D’un point de vue santé et prévention, il me paraît plus sage de choisir de consommer des protéines végétales qui ne favorisent aucune maladie plutôt que de la viande qui augmente les risques de développer de graves problèmes de santé.
 
Cet article a également été publié dans le magazine Alternatives VégétariennesCliquez ici pour le lire en pdf.
 
Source: Carevox



SOURCES
  • 1. Willett, W C, M J Stampfer, G A Colditz, B A Rosner, et F E Speizer. 1990. « Relation of meat, fat, and fiber intake to the risk of colon cancer in a prospective study among women ». The New England Journal of Medicine 323 (24) (décembre 13): 1664–1672. doi:10.1056/NEJM199012133232404.
2. Hebels, Dennie G A J, Kirstine M Sveje, Marloes C de Kok, Marcel H M van Herwijnen, Gunter G C Kuhnle, Leopold G J B Engels, Carla B E M Vleugels-Simon, et al. 2012. « Red meat intake-induced increases in fecal water genotoxicity correlate with pro-carcinogenic gene expression changes in the human colon ». Food and Chemical Toxicology: An International Journal Published for the British Industrial Biological Research Association 50 (2) (février): 95–103. doi:10.1016/j.fct.2011.10.038.

3. Zur Hausen, Harald. 2012. « Red meat consumption and cancer: Reasons to suspect involvement of bovine infectious factors in colorectal cancer ». International Journal of Cancer. Journal International Du Cancer 130 (11) (juin 1): 2475–2483. doi:10.1002/ijc.27413.

4. Maconi, Giovanni, Sandro Ardizzone, Claudia Cucino, Cristina Bezzio, Antonio-Giampiero Russo, et Gabriele Bianchi Porro. 2010. « Pre-illness changes in dietary habits and diet as a risk factor for inflammatory bowel disease: a case-control study ».World Journal of Gastroenterology: WJG 16 (34) (septembre 14): 4297–4304.

5. Jantchou, Pr|[eacute]|vost, Sophie Morois, Fran|[ccedil]|oise Clavel-Chapelon, Marie-Christine Boutron-Ruault, et Franck Carbonnel. 2010. « Animal Protein Intake and Risk of Inflammatory Bowel Disease: The E3N Prospective Study ». The American Journal of Gastroenterology 105 (10) (mai 11): 2195–2201. doi:10.1038/ajg.2010.192.

6. Crowe, Francesca L, Paul N Appleby, Naomi E Allen, et Timothy J Key. 2011. « Diet and risk of diverticular disease in Oxford cohort of European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition (EPIC): prospective study of British vegetarians and non-vegetarians ». BMJ (Clinical Research Ed.) 343: d4131.

7. Aldoori, Walid, et Milly Ryan-Harshman. 2002. « Preventing diverticular disease. Review of recent evidence on high-fibre diets. » Canadian Family Physician 48 (octobre): 1632.

8. Nair, P, et J F Mayberry. 1994. « Vegetarianism, dietary fibre and gastro-intestinal disease ». Digestive Diseases (Basel, Switzerland) 12 (3) (juin): 177–185.

9. Dwyer, J T. 1988. « Health aspects of vegetarian diets ». The American Journal of Clinical Nutrition 48 (3 Suppl) (septembre): 712–738.

10. Tappel, Al. 2007. « Heme of consumed red meat can act as a catalyst of oxidative damage and could initiate colon, breast and prostate cancers, heart disease and other diseases ». Medical Hypotheses 68 (3): 562–564. doi:10.1016/j.mehy.2006.08.025.

11. Cross, A. J., L. M. Ferrucci, A. Risch, B. I. Graubard, M. H. Ward, Y. Park, A. R. Hollenbeck, A. Schatzkin, et R. Sinha. 2010. « A Large Prospective Study of Meat Consumption and Colorectal Cancer Risk: An Investigation of Potential Mechanisms Underlying this Association ». Cancer Research 70 (6) (mars 9): 2406–2414. doi:10.1158/0008-5472.CAN-09-3929.

Lu sur Wikistrike

lundi 23 juillet 2012

L'agriculture et sa logique de mort

Comment le monde paysan s'est laissé pervertir par celui des affaires, au détriment de la santé publique et de l'environnement. Un portrait peu flatteur de l'agriculteur et de sa logique de mort. Un impitoyable règlement de compte avec les paysans voyous.

En rage contre l'agriculture mercenaire des industries chimiques et contre le paysan bourreau des animaux, j'ai écrit ce livre l'automne dernier. Après quelques batailles avec "les censures", il vient de paraître.

Le monde agricole ne va guère apprécier cette dénonciation et le rejet, pour première fois global, de ses pratiques spécistes et pesticidaires : cruauté envers les animaux, consommateurs pris pour des cobayes et chaque fois plus exposés aux empoisonnements chimiques (dont les exploitants agricoles sont eux-mêmes les victimes kamikazes !), détérioration de la qualité biologique des sols, gestion courtermiste et éminemment capitaliste alors que l'agriculture demande évidemment une démarche respectueuse dans un souci d'avenir. La FNSEA, vecteur de l'horreur agricole française, cherchera à interdire la publication.

Ce livre est dédié aux animaux non-humains qui souffrent plus et davantage depuis l'avènement de l'agriculture industrielle et de son corollaire l'élevage concentrationnaire, ainsi qu'aux victimes humaines des produits agricoles pétris de résidus chimiques. Mais pas seulement. Je le dédie aussi à la pétro-tomate sans saveur, au poivron en deuil de son sol, à la pomme de terre aux gènes de poulet, de phalène, de virus et de bactérie, au maïs aux gènes de luciole, de pétunia, de blé, de scorpion, au riz aux gènes de haricot, de pois, de bactérie et d'humain, à la fraise-melon et au melon-fraise ou kiwi, à la banane empoisonnée, à l'abricot qui ne murira plus, à la cerise qui pourrit rien qu'en la regardant. Et à tous les « fruits » de notre antimonde aux terroirs perdus.

Alors, les cancéreux potentiels que nous sommes, avant de passer à table, feraient désormais mieux de se souhaiter "bonne chance" que "bon appétit" !

S'il est plus question que jamais de faire payer les pollueurs, il serait grand temps de présenter la facture qui revient aux gangsters de l'agrotoxique.

L'agroterrorisme dans nos assiettes dit très fort ce que tout le monde pense tout bas !

« La vie avant la domestication. L'agriculture était en fait largement une vie de plaisir, de contact avec la nature, de sagesse des sens, d'égalité sexuelle, et de bonne santé. »John Zerzan

L'AGROTERRORISME DANS NOS ASSIETTES

Michel Tarrier, 256 pages, Éditions LME
Commander le livre chez Amazon, Fnac ou l'éditeur :

http://www.amazon.fr/Agroterrorisme-dans-assiettes-Michel-Tarrier/dp/2360260391
http://livre.fnac.com/a3995918/Michel-Tarrier-Agroterrorisme-dans-nos-assiettes
http://www.lamaisondeditions.fr/livre-agroterrorisme-tarrier.html

source: notre-planete.info

Quel est le besoin en calories par jour?

Combien de calories par jour répondent au besoin pour le maintien du poids? Combien de calories faut-il couper pour une perte de poids de 1 kilo?

Voici un estimé du besoin en calories par jour selon l'âge, le sexe et le niveau d'activité. Ce nombre peut varier légèrement selon la grandeur, le poids et le métabolisme.



Moins que 30 minutes d'activité physique par jour
Les femmes entre 31 et 50 ans qui font moins que 30 minutes d'exercice par jour ont besoin d'environ 1.800 calories (1) alors que les hommes ont besoin d'environ 2.200. Les personnes plus jeunes que 30 ans peuvent ajouter 200 calories et celles de plus de 50 ans doivent en soustraire 200.

30 minutes d'activité physique
Les femmes qui font de l'exercice 30 minutes par jour ont besoin d'environ 2.000 calories et les hommes environ 2.400 calories. Les hommes en bas de 30 ans peuvent en ajouter 200 (aucun ajout pour les femmes). Hommes et femmes de plus de 50 ans doivent en enlever 200.

Plus de 60 minutes d'activité physique
Les femmes de 31 à 50 ans ont besoin de 2.200 calories et les hommes d'environ 3.000 calories. Les femmes plus jeunes que 30 ans peuvent ajouter 200 calories (aucun changement pour les hommes). Les hommes de plus de 50 ans doivent enlever 200 calories.

Quelques exemples d'apports caloriques
Pomme: environ 75 calories
Jus de fruit (boîte de 200 ml): 94 calories
Cocktail aux légumes (canette de 340 ml): 58 calories
Une cuillerée à table d'huile d'olive: 100 calories
Un muffin: 300 à 480 calories (oui, surprenant)

Maigrir
Un kilo équivaut à 7.700 calories. Ainsi une réduction de 500 calories par jour (consommées en moins, dépensées en activité physique ou une combinaison des deux) permet de maigrir (ou de ne pas engraisser) d'un kilo par 2 semaines (500 * 15 = 7500).

Les régimes amaigrissants visent souvent un apport variant entre 1200 et 1400 calories.

Voyez également:


(1) Le terme calorie utilisé ici désigne la "grande calories" qui vaut 1000 calories ou 1 kcal. Les étiquettes des produits alimentaires utilisent la grande calorie (il s'agit donc de kcal).

Estimé du besoin en calories fourni par le US Department of Agriculture (USDA) Center for Nutrition Policy and Promotion

Psychomédia avec source:
MSNBC

mercredi 18 juillet 2012

Fox News annonce que les aliments de base vont augmenter et qu'il faut penser à stocker de la nourriture

Une étude russe qui prouve que les OGM stériliseront l'humanité au bout de 3 Générations

On soupçonnait déjà que la perte de la fertilité était au nombre des graves  dégâts occasionnés, une étude récente va dans ce sens. Une étude qui, si elle n'est pas étouffée, pourrait avoir un grand impact sur les décisions à prendre à l'avenir!
En 2009, près de 3% des terres agricoles étaient couvertes d'OGM avec 134 millions d'hectares, selon l'ISAAA, qui, chaque année, fait état des cultures des plantes transgéniques dans le monde. Et le dossier des OGM alimentaires - dont de très nombreuses pages restent encore floues à ce jour - pourrait bien s'alourdir prochainement alors qu'une nouvelle pièce en provenance de Russie est sur le point d'y être ajoutée. 
 
Celle-ci prend la forme d'une étude, dont les résultats les plus frappants viennent d'être présentés à la presse en Russie dans le cadre de l'ouverture dans ce pays des Journées de Défense contre les Risques Environnementaux. Elle est même évoquée par Jeffrey Smith, fondateur de l'Institute for Responsible Technology aux Etats-Unis et auteur de référence dans le monde des OGM avec notamment son ouvrageSeeds of Deception (littéralement «les semences de la tromperie») publié en 2003. Menée conjointement par l'Association Nationale pour la Sécurité Génétique et l'Institut de l'Ecologie et de l'Evolution, cette étude russe a duré deux ans, avec pour cobayes des hamsters de race Campbell, une race qui possède un taux de reproduction élevé. Ainsi, le Dr Alexey Surov et son équipe ont nourri pendant deux ans et d'une manière classique les petits mammifères, à l'exception près que certains d'entre eux ont été plus ou moins nourris avec du soja OGM (importé régulièrement en Europe) résistant à un herbicide.
Au départ, quatre groupes de cinq paires (mâles / femelles) ont été constitués: le premier a été nourri avec des aliments qui ne contenaient pas de soja, le second a, quant à lui, suivi un régime alimentaire qui comportait du soja conventionnel, le troisième a été alimenté avec en complément du soja OGM et enfin le quatrième groupe a eu des plateaux repas dans lesquels la part de soja transgénique était encore plus élevée que dans ceux du troisième.
 
A la fin de cette première phase, l'ensemble des quatre groupes a eu en tout 140 petits. L'étude s'est poursuivie dans une deuxième phase par la sélection de nouvelles paires issues de chacun de ces premiers groupes. Et, dans la logique du déroulement, les nouvelles paires de la deuxième génération ont, elles aussi, eux des petits, créant de fait la troisième et dernière génération de cobayes. Ainsi, il y a eu au final 52 naissances parmi les spécimens de troisième génération qui n'ont pas consommé du tout de soja, 78 parmi ceux qui ont consommé du soja conventionnel.
 
Mais le troisième groupe, celui qui a été nourri avec du soja OGM, n'a eu que 40 petits, dont 25% sont morts. Et, pire, dans le groupe qui a mangé le plus de soja génétiquement modifié, une seule femelle a réussi à donner naissance, soit 16 petits au total, dont 20% sont finalement morts.
 
Ainsi, à la troisième génération, les hamsters qui, pour les besoins de l'étude, ont eu, dans leur menu, une part importante de soja OGM, n'étaient plus capables de se reproduire...
 
Mais une autre surprise de taille a été observée: certains de ces hamsters issus de la troisième génération se sont retrouvés avec des poils ... dans la bouche, un phénomène d'une extrême rareté.
 
Voici, à ce sujet, les photos publiées par Jeffrey Smith, dans son billet
 
Selon Jeffrey Smith, l'étude du Dr Surov et de son équipe pourrait bien «déraciner» une industrie qui vaut plusieurs milliards de dollars. L'affaire est donc à suivre, mais, quoi qu'il en soit, depuis l'introduction en 1996 dans l'environnement et dans la chaîne alimentaire de produits agricoles transgéniques (issus de semences dans lesquelles y sont ajoutées un ou plusieurs gênes étrangers afin de conférer à la plante une propriété spécifique), les risques qui y sont liés restent encore très largement inconnus car très peu observés, faute d'études suffisamment longues et indépendantes, mais aussi à cause du refus des semenciers de publier leurs propres études (sauf sous la contrainte juridique) pour des raisons de stratégies industrielles et commerciales.
 
Aussi surprenant que cela puisse paraître, le principe de précaution, dans ce domaine, semble effectivement illusoire, alors que les incertitudes scientifiques qui demeurent devraient justement le mettre au cœur du processus d'évaluation. Et, d'ailleurs, l'on peut même supposer que cetteabsence de précaution large et de manque de transparence vis-à-vis du public nuisent par la même occasion aux OGM agricoles expérimentaux (de seconde génération) qui ne peuvent pas être évalués dans les meilleures conditions puisque ceux qui sont actuellement sur le marché ne l'ont été que partiellement (voir le proverbe de la «charrue avant les boeufs»...).
 
Car l'ennui, au fond, c'est que nous tous, les consommateurs, sommes au bout de cette chaîne alimentaire: alors finalement dans l'histoire, qui sont réellement les cobayes?
 

lundi 9 juillet 2012

La NASA reconnaît l'existence des "portails dimensionnels"

* Cette "découverte" est publiée en 2012, mais ce n'est absolument pas une nouvelle découverte!  Ça fait de très nombreuses années que cette science est pratiquée, il ne s'agit que de prendre comme exemple "l'Expérience de Philadelphie", expérience militaire réalisée en 1943, pour savoir que le "voyage dans le temps" remonte au moins aux années 40.  Sans compter tout ce que les scientifiques nazis, russes, britanniques et américains ont testé dans ces années de grandes révolutions scientifiques dans le domaine des "black projects".  Selon mes recherches, l'état de cette science diabolique dépasse tous les films de science-fiction.  Ces "savants fous" sont arrivés à un niveau où ils peuvent manipuler le monde terrestre et le monde spirituel pour produire des résultats ou des créations issues des deux domaines d'existence.  Le "terrestre" et le "spirituel" sont un amalgame de phénomènes qui visent à tromper l'humanité, qui visent à laisser entrer dans notre dimension d'existence des entités d'un autre monde, entités qui n'ont strictement rien de bienveillant.  Au contraire!  Ces portails magnétiques sont la preuve que les hauts dirigeants de notre planète obéissent à un agenda diabolique où les hommes seront trompés, séduits et manipulés, d'où le combat spirituel auquel nous devons prendre part (avec des armes non charnelles).  Je vous invite à lire le chapitre 6 du livre d'Éphésiens pour savoir comment mener ce combat et le chapitre 9 du livre de l'Apocalypse pour constater que ces ouvertures de portails et que la science et le monde spirituel donneront sur une alliance diabolique.  Le CERN n'a rien à voir avec "comment recréer le Big Bang" (vitrine publique), mais il sert à poursuivre la recherche sur ces portails dimensionnels et à accomplir les plans de l'élite occulte qui vise à "laisser entrer" des entités du monde spirituel...
 
Un chercheur de l'Université de l'Iowa, financé par la NASA, a compris comment trouver des portails dimensionnels, lesquels sont décrits comme étant des ouvertures dans l'espace-temps vers des univers lointains et inconnus.

"Nous les appelons les points-X ou des régions de diffusion d'électrons", explique le physicien en plasma Jack Scudder.  "Ce sont des endroits où le champ magnétique de la Terre se connecte au champ magnétique du Soleil, création d'un chemin ininterrompu qui mène de notre propre planète à l'atmosphère du Soleil qui est à 93 millions de miles plus loin".

Les observations par le satellite THEMIS de la NASA et les sondes Cluster de l'Europe donnent à penser que ces portails magnétiques s'ouvrent des dizaines de fois par jour.  Ils sont généralement situés à quelques dizaines de milliers de kilomètres de la Terre où le champ magnétique terrestre rencontre le vent solaire.  La plupart des portails sont de petites tailles et de courtes durées, d'autres ouvrent de façon vaste et soutenue.  Des tonnes de particules énergétiques peuvent circuler à travers les ouvertures, chauffant la haute atmosphère terrestre, provoquant des orages géomagnétiques, et l'allumage des aurores polaires.

La NASA prévoit une mission appelée "MMS", une mission multi-échelle magnétosphérique qui devrait être lancée en 2014 pour étudier le phénomène.  Rempli de détecteurs de particules énergétiques et de capteurs magnétiques, les quatre satellites de MMS se disperseront dans la magnétosphère terrestre et entoureront les portails pour observer comment ils fonctionnent. 

Juste un problème: les trouver.  Les portails magnétiques sont invisibles, instables et insaisissables.  Ils s'ouvrent et se ferment sans avertissement et il n'y a pas de panneaux pour nous guider, fait remarquer Scudder.  Mais Scudder dit avoir trouvé comment les détecter.

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Earthlings ( Terriens )

Earthlings est un film documentaire américain de Shaun Monson sorti en 2005, et dont la réalisation a nécessité cinq années de travail et d’investigations. Il montre le traitement des animaux destinés à la nourriture, à l’habillement, aux divertissements et aux recherches scientifiques.


source: jaiundoute.com