Selon des chercheurs américains, le sucre ajouté dans les produits alimentaires industriels serait responsable d’une grande partie des maladies non transmissibles. Qu’en est-il vraiment et est-ce aussi le cas en France ?
Pourquoi les scientifiques s’inquiètent-ils ?
En février dernier, trois chercheurs de l’université de Californie ont lancé un cri d’alarme dans la revue Nature. Le motif : l’excès de sucres ajoutés dans notre alimentation. En cinquante ans, la consommation mondiale de produits sucrés a triplé.
A notre insu, le plus souvent. Qui sait, en effet, que l’équivalent de cinq morceaux de sucre se cache dans un pot de crème au chocolat ou dans 100 grammes de sauce ketchup  ? Qu’il y en a aussi une grande quantité dans les barquettes prêtes à l’emploi de carottes râpées ou de céleri rémoulade qu’on achète au supermarché ?
Et que pour rehausser la saveur de leurs préparations, les industriels ont plutôt la main lourde : alors que les fruits apportent 20 à 30 grammes de fructose naturel par jour, les sirops employés par l’agroalimentaire dans les aliments transformés en fournissent jusqu’à 150 grammes.
Un véritable poison pour la santé selon les scientifiques américains, qui recommandent de taxer les produits trop sucrés au même titre que le tabac et l’alcool et qui proposent de réduire le nombre de distributeurs automatiques de sucreries dans les écoles et au travail, et de doubler le prix des sodas.
(...)
Pour lire la suite, cliquer ICI
Un article de Brigitte Bègue, publié par viva.presse.fr
Pourquoi les scientifiques s’inquiètent-ils ?
En février dernier, trois chercheurs de l’université de Californie ont lancé un cri d’alarme dans la revue Nature. Le motif : l’excès de sucres ajoutés dans notre alimentation. En cinquante ans, la consommation mondiale de produits sucrés a triplé.
A notre insu, le plus souvent. Qui sait, en effet, que l’équivalent de cinq morceaux de sucre se cache dans un pot de crème au chocolat ou dans 100 grammes de sauce ketchup  ? Qu’il y en a aussi une grande quantité dans les barquettes prêtes à l’emploi de carottes râpées ou de céleri rémoulade qu’on achète au supermarché ?
Et que pour rehausser la saveur de leurs préparations, les industriels ont plutôt la main lourde : alors que les fruits apportent 20 à 30 grammes de fructose naturel par jour, les sirops employés par l’agroalimentaire dans les aliments transformés en fournissent jusqu’à 150 grammes.
Un véritable poison pour la santé selon les scientifiques américains, qui recommandent de taxer les produits trop sucrés au même titre que le tabac et l’alcool et qui proposent de réduire le nombre de distributeurs automatiques de sucreries dans les écoles et au travail, et de doubler le prix des sodas.
(...)
Pour lire la suite, cliquer ICI
Un article de Brigitte Bègue, publié par viva.presse.fr
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire