Quelques chiffres
Consommer moins de viande préserve la couche d’ozone En effet, l’industrie de la viande représente la deuxième source de gaz à effet de serre au monde, après la production d’énergie. Fait bien souvent ignoré par le consommateur. Et les écologistes de scander : « Mieux vaut un végétarien roulant en 4x4 qu’un mangeur de steak à vélo ! ».
Déjà sérieusement montrée du doigt, des études récentes viennent accabler l’industrie de la viande. On savait déjà que la production de protéines animales engloutissait près de 33% des terres émergées, 45% de l’eau mondiale et 70% des terres agricoles (FAO). On sait par ailleurs désormais que la production d’un seul et même kilo de bœuf dégage l’équivalent de 14,8 Kg de CO2 (ce qui revient à parcourir, comme le montre un magazine, 121 Km en voiture). L’industrie de la viande génère à elle seule 18% des GES (gaz à effet de serre) mondiaux, soit plus que tous les modes de transports combinés (14%) selon la FAO. Et Henning Steinfield de renchérir : « L’élevage est responsable de l’émission de 9% du CO2 mondial, de 37% du méthane (CH4) et de 65% du protoxyde d’azote (N2O), un gaz au pouvoir réchauffant 275 fois plus élevé que le CO2, dégagé par les engrais, et premier responsable de la destruction de la couche d’ozone ». Le méthane, quant à lui 25 fois plus puissant que le CO2, est relâché dans la nature à 95% par les éructations du bétail !
Pour revenir à l’exemple du kilo de bœuf, l’aberration ne s’arrête pas là, car pour le fabriquer, il aura fallu 7 à 10 Kg de céréales, 15 000 à 18 000 litres d’eau, et 5 à 10 fois plus de sols que pour obtenir la même quantité de protéines végétales ! La seule production du fourrage requiert 33% des terres arables mondiales.
Enfin, le cancer et l’obésité sont des risques qui croissent avec la consommation de viande, Quoiqu’il en soit, la viande et ses consommateurs est sans aucun doute le fléau de ce XXIème siècle. Nous en abusons, et ce à nos risques et périls. Nous semblons oublier, que dans les pays développés la consommation de viande est de 224g par jour, et elle n’est que de 31g en Afrique...Si les terres agricoles étaient utilisées uniquement pour produirent notre nourriture immédiate, la famine dans le monde n'existerait pas!
Consommer moins de viande préserve la couche d’ozone En effet, l’industrie de la viande représente la deuxième source de gaz à effet de serre au monde, après la production d’énergie. Fait bien souvent ignoré par le consommateur. Et les écologistes de scander : « Mieux vaut un végétarien roulant en 4x4 qu’un mangeur de steak à vélo ! ».
Déjà sérieusement montrée du doigt, des études récentes viennent accabler l’industrie de la viande. On savait déjà que la production de protéines animales engloutissait près de 33% des terres émergées, 45% de l’eau mondiale et 70% des terres agricoles (FAO). On sait par ailleurs désormais que la production d’un seul et même kilo de bœuf dégage l’équivalent de 14,8 Kg de CO2 (ce qui revient à parcourir, comme le montre un magazine, 121 Km en voiture). L’industrie de la viande génère à elle seule 18% des GES (gaz à effet de serre) mondiaux, soit plus que tous les modes de transports combinés (14%) selon la FAO. Et Henning Steinfield de renchérir : « L’élevage est responsable de l’émission de 9% du CO2 mondial, de 37% du méthane (CH4) et de 65% du protoxyde d’azote (N2O), un gaz au pouvoir réchauffant 275 fois plus élevé que le CO2, dégagé par les engrais, et premier responsable de la destruction de la couche d’ozone ». Le méthane, quant à lui 25 fois plus puissant que le CO2, est relâché dans la nature à 95% par les éructations du bétail !
Pour revenir à l’exemple du kilo de bœuf, l’aberration ne s’arrête pas là, car pour le fabriquer, il aura fallu 7 à 10 Kg de céréales, 15 000 à 18 000 litres d’eau, et 5 à 10 fois plus de sols que pour obtenir la même quantité de protéines végétales ! La seule production du fourrage requiert 33% des terres arables mondiales.
Enfin, le cancer et l’obésité sont des risques qui croissent avec la consommation de viande, Quoiqu’il en soit, la viande et ses consommateurs est sans aucun doute le fléau de ce XXIème siècle. Nous en abusons, et ce à nos risques et périls. Nous semblons oublier, que dans les pays développés la consommation de viande est de 224g par jour, et elle n’est que de 31g en Afrique...Si les terres agricoles étaient utilisées uniquement pour produirent notre nourriture immédiate, la famine dans le monde n'existerait pas!
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