vendredi 18 mai 2012

Le gouvernement Charest vient d'allumer le feu

Avec l'adoption de sa loi spéciale visant à obliger les étudiants à entrer en classe sous peine d'amandes très salées et en brimant les droits et libertés de manifester des étudiants, le gouvernement déclenche une guère sociale sans précédant qui va nous mener directement vers des mesures militaires comme ça c'est vu en Italie !

Cette loi ne fera qu'amplifier la détermination de se faire entendre des mouvements étudiants. Une loi qui vise à écraser une partie de la population et qui ne va qu'augmenter la colère générale, On verra se multiplier des actes de violence de groupuscules radicaux comme on l'a déjà vu dans le métro, et là on va avoir un vrai problème !

«Le gouvernement se sert d'une crise qu'il lui-même provoquée pour ni plus ni moins transformer tout mouvement social (...) en crime et un État qui a une tradition d'ouverture en un État policier», a déclaré le président de la FECQ, Léo Bureau-Blouin, dans un point de presse à l'Assemblée nationale.

Jean Charest et son gouvernement n'ont pas été très subtile dans cette crise, il ont laissé aller la grève 2 mois avant de réagir, quand ils ont réagient aux demandes des étudiants ça été pour se moquer d'eux. Il (Jean Charest) a lié sa ministre de l'éducation Beauchamps à son entêtement de ne pas régler la crise pour pouvoir sortir sa loi anti-démocratique. Devant la manipulation Charest face à cette crise Lyne Beauchamps a préféré démissionné d'une façon radicale de la politique.

Elle n'a pas seulement démissionné de son poste de ministre mais de la politique complètement ! La vérité est que madame Beauchamps ne voulait pas être associé à ce complot face à cette crise et que lorsqu'elle a déclaré que les étudiants n'avaient pas confiance aux élus du peuple c'est qu'elle approuvait leur méfiance en démissionnant elle-même de se poste au sein d'un gouvernement baignant dans une corruption nauséabond !

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