jeudi 29 mars 2012

Nos gènes ne seraient peut-être pas terrien

Découverte de gènes extraterrestres dans l’ADN humain

Dans la revue scientifique Nature (409, 860-921, 15/2/2001), un article faisant le point sur l'avancement du Projet Génome Humain montre (dans son tableau 24) que 223 gènes humains n'ont aucun prédécesseur évolutionnaire et ont été apportés dans notre chromosome 21 par "transfert horizontal probable", c'est-à-dire hors évolution.


Un groupe de chercheurs travaillant au « 
Projet du Génome Humain » (Human Genome Project) indique avoir fait une étonnante découverte scientifique. Ils pensent que les séquences dites « non codantes » qui composent 97 % de l’ADN humain ne sont rien d’autre que le code génétique de formes vivantes extraterrestres. Les séquences non codantes sont communes à toute la matière organique sur terre, des moules aux humains. Dans l’ADN humain, « elles constituent la plus grande partie du génome total » déclare le professeur Sam Chang, directeur du groupe.

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Le professeur Chang
Les séquences non codantes, autrefois connues sous le nom d’« ADN-poubelle », ont été découvertes il y a des années et leur fonction restait un mystère. L’écrasante majorité de l'ADN humain est « hors de ce monde » de par son origine. Lesdits «gènes-poubelles extraterrestres» «profitent simplement du voyage» avec les gènes actifs fonctionnels transmis de génération en génération. Après analyse complète avec l'aide d'autres scientifiques, d'informaticiens, de mathématiciens et d'autres savants, le professeur Chang s'est demandé si ledit « ADN-poubelle » humain n’avait pas été créé par une sorte de «programmeur extraterrestre». Les segments étrangers dans l’ADN humain, observe encore le professeur Chang, «ont leurs propres veines, artères et leur propre système immunitaire, qui résiste vigoureusement à tous nos médicaments anticancéreux.» Le professeur Chang déclare ceci : « notre hypothèse est qu'une forme de vie extraterrestre supérieure a entrepris de créer une nouvelle vie et de l’implanter sur diverses planètes. La Terre est juste l’une d'entre elles. Peut-être, après programmation, nos créateurs nous cultivent-ils de la même manière que nous cultivons des bactéries dans des boîtes de Pétri. Nous ne pouvons pas connaître leurs motifs - si c'était une expérience scientifique ou une manière de préparer de nouvelles planètes à la colonisation ou si c’est depuis longtemps affaire de semer la vie dans l'univers. » Le professeur Sam Chang indique encore que "si nous pensons à cela en termes humains, lesdits «programmeurs extraterrestres » travaillaient très probablement sur un « grand code unique » consistant en plusieurs projets, lesquels devraient avoir produit diverses formes de vie pour différentes planètes. Ils ont également essayé diverses solutions. Ils ont écrit «le grand code», l'ont exécuté, n'ont pas aimé certaines fonctions, les ont modifiées ou en ont ajouté de nouvelles, l’ont exécuté encore, ont apporté plus d'améliorations et ont fait de multiples essais.
L'équipe de chercheurs du professeur Sam Chang conclut en outre que les apparents «programmeurs extraterrestres » ont pu avoir reçu l’ordre d’interrompre tous leurs plans d’avenir idéalistes quand ils se sont concentrés sur le « projet Terre », afin de pouvoir tenir leur délai concernant cette planète. Semblant très pressés, les «programmeurs extraterrestres» ont pu avoir réduit rigoureusement le grand code et avoir ainsi fourni le programme de base prévu pour la Terre. Le professeur Chang est seulement l'un des nombreux scientifiques et chercheurs qui ont découvert les origines extraterrestres de l'humanité. Lui et ses collègues de recherche prouvent que des lacunes de l’apparente programmation extraterrestre dans le séquençage de l'ADN, précipitées par une hâte hypothétique pour créer la vie humaine sur Terre, ont donné à l'humanité une croissance illogique de masses de cellules que nous connaissons sous le nom de cancer. Le professeur Chang indique encore ceci : « ce que nous voyons dans notre ADN est un programme se composant de deux versions : un grand code général et un code de base ». M. Chang affirme ensuite que « le premier fait est que le programme complet n'a certainement pas été écrit sur Terre ; c'est maintenant un fait vérifié. Le deuxième fait est que ces gènes ne sont pas suffisants par eux-mêmes pour expliquer l'
évolution ; il doit y avoir quelque chose de plus en jeu. » « Tôt ou tard », dit le professeur Chang « nous devrons affronter la notion incroyable que chaque vie sur Terre porte le code génétique de son cousin extraterrestre et que l'évolution n'est pas ce que nous pensons. » (Source: Agoracosmopolitan» - Article de John Stokes traduit par Maat et révisé par D.B., intitulé « Scientists find Extraterrestrial genes in Human DNA » et réconciliant l’hypothèse darwiniste avec le créationnisme par conception intelligente (exogénèse))
L’exogénèse, solution ultime du conflit entre créationnisme et darwinisme
Texte ci-dessus avec liens hypertextes : « Dans un article publié le 5 octobre 2006, la Tribune indiquait que 28% des Suisses ne croient pas à l'évolution. Est-ce dû au refus instinctif d'admettre que notre corps est celui d'un primate ayant 98,8 % (chiffre de Wikipédia) de ses gènes en commun avec le chimpanzé moderne? Ni l'évolutionnisme ni le dessein intelligent d'une divinité ne répond vraiment à nos interrogations mais une troisième solution existe: celle de l'exogénèse. Dans les tablettes écrites il y a 3 800 ans environ à Sumer, on explique que les dieux avaient du mal à se procurer leur nourriture. Pour faire face à ce problème, Enki, sous l’instruction de sa mère, fait pétrir les hommes, à l’image des dieux, dans de l’argile. Marduk décide la création de l’humanité et tranche les veines de Kingu. Du sang qui s’écoule, Ea crée l’humanité. D'après les traductions d'Anton Parks, l'humanité aurait ainsi été créée par hybridation du génome d'un primate terrestre avec celui d'êtres techniquement évolués mais ayant besoin de main-d'œuvre. Notre ADN aurait toutefois été bridé de façon que l'homme ne soit qu'un bon travailleur pour les dieux, le mot A-dam signifiant simplement, en sumérien, bétail. La thèse de l'exogénèse, soutenue par des scientifiques aussi sérieux que l'astrophysicien Gerry Zeitlin, réconcilie l'évolutionnisme avec le créationnisme, avec la différence que le coup de pouce a été donné par des généticiens évolués et non par Dieu. Reste évidemment la question de savoir comment ces extraterrestres ont eux-mêmes été créés, mais c'est un autre chapitre! »

La revue Nexus 50 (mai-juin 2007) a publié une excellente interview d’Anton Parks résumant clairement sa thèse.

Le numéro 59 de la revue "Top-Secret" a publié un excellent article de 6 pages, par l'érudit Michel Girard, sur l'exogénèse de l'Homo Sapiens par les "Elohim" bibliques, qui correspondent aux divers "dieux" mentionnés antérieurement dans les tablettes sumériennes.

Selon Anton Parks, les «dieux» d’apparence reptilienne représentés sur les tablettes de l’antique Sumer ne seraient pas nos créateurs comme l’affirme Sitchin mais nos «re-créateurs». "Ils ont fait main basse sur une partie la banque génétique du vivant, l’ont prise en otage pour la détourner et servir leurs propres ambitions : le pouvoir. Les Gina'abul ont tronqué le code génétique des êtres humains pour transformer ces derniers en Á-DAM (animaux ou bétail en sumérien) à leur service. Cette situation est toujours d'actualité aujourd'hui, surtout lorsque l'on distingue avec détachement les comportements anormaux et souvent inhumains des dirigeants de ce monde au service des fossoyeurs galactiques que les Kadištu (planificateurs) nomment Gílimanna (Bestiaire Céleste). Il s'agit de chroniques plus ou moins détaillées qui relatent leur établissement et surtout leur mainmise sur l'humain qu'ils transformeront génétiquement en bétail pour leur plus grand plaisir, car les Anunnakis sont plutôt paresseux ! D'où le fait qu'ils soient considérés comme des "dieux" (ou carrément « Dieu ») aux yeux de l'humanité. Après mille et une péripéties, le Haut Conseil Anunna se voit dans l'obligation de fabriquer génétiquement un être humain afin qu'il accomplisse les besognes journalières à la place des "dieux". Ces esclaves humains ne sont pas directement désignés comme étant des Á-DAM (animaux), mais plutôt des Lùlù, c'est-à-dire des êtres "mélangés". Enki (ou Ea) – fils d'An et de Mamítu-Nammu, qui dirige sous la contrainte les opérations pour la caste dominante, à savoir les Anunna – ne supporte pas de voir sa création génétique utilisée comme de vulgaires Á-DAM (animaux). Il va progressivement modifier le spécimen esclave afin de le rendre autonome. Nous pouvons en conclure sans l'ombre d'un doute que le serpent de la Bible n'est autre qu'Enki le généticien, autrement dit Nudímmud le cloneur. Malheureusement, je ne vais rien vous apprendre en vous rappelant que tout a été fait pour cacher la vérité sur l'origine et l'apparence des "dieux" qui ont transformé le code génétique de l'humanité en vue d'aliéner leurs esclaves qu'ils assimilent à des Á-DAM (animaux). Le fossé qui sépare Enki (le serpent généticien et "guérisseur") et Enlíl, le Šàtam (en sumérien "l'administrateur territorial") de l'Edin, est bien là lorsque l'on sait qu'Enlíl appuyait la doctrine patriarcale des "dieux" déchus sur la Terre. Nous pouvons dire que les Gina'abul sont, sur ce point, largement en "avance" sur l'humain, bien que je doute qu’il s’agisse d’un progrès que de savoir programmer l’humanoïde via la génétique. Les Gina’abul possèdent depuis de nombreux millénaires la connaissance du clonage. On trouve trace de ce savoir sur les représentations en argile de Mésopotamie, les codex mayas ou encore certaines figures égyptiennes comme dans la tombe de Thutmosis 3 dans la Vallée des Rois. L'histoire que je raconte est saturée de ces manipulations génétiques et je sais bien où elles ont mené les Gina'abul et surtout l'espèce humaine. Une des plus remarquables manipulations des Gina'abul est d'avoir aliéné l'être humain afin d’en faire un animal à son service. Pour cela, les Gina'abul sont partis de l'Humanoïde originel qu'ils ont mixé avec leurs propres gènes et ceux du singe. L'Etre humain originel fut assemblé par les Kadištu (planificateurs). Son rôle était de garder l'animalerie du jardin planétaire. Comme le précise justement la Genèse (1,26), il fut le dernier spécimen à avoir été intégré dans la réserve vivante des planificateurs. Le but de cette réserve était d'assembler les connaissances génétiques des émissaires de la Source. L'Etre humain originel était très respecté, car il regroupait à lui seul le patrimoine génétique de nombreuses espèces planificatrices." C'est ce patrimoine génétique inactivé de l'Homme originel que les scientifiques actuels –comme le professeur Sam Chang ci-dessus- retrouvent dans ce qu'on appelait jusqu’à maintenant "l'ADN-poubelle" !

Schéma des manipulations génétiques ayant abouti à la création des êtres humains actuels d’après Anton Parks

(noter dans ce schéma que la lignée à peau blanche (Lubarra) a été créée après les lignées à peau noire)

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Après avoir lu les 918 pages des 2 premiers livres d’Anton Parks –confirmés et développés par l'astrophysicien américain Gerry Zeitlin, ce qui est une excellente référence- je pense qu’il n’y a pas eu, de la part des manipulateurs génétiques qui ont codé notre ADN, de travail incomplet, erroné ou trop rapide. Je crois plutôt que toutes ces « erreurs » ont été délibérées, leur finalité étant de casser un ADN originel trop évolué afin d’obtenir des véhicules physiques diminués, n’employant que 3 % de leurs capacités génétiques initiales et fragilisés par l’insertion de séquences pathogènes (rétrovirus) très nombreuses (8 % du génome !). Le calcul de nos manipulateurs-créateurs (affaiblissement de l’humanité afin de mieux la contrôler et commander) se retournera finalement contre eux car, grâce aux efforts de prévention et d’hygiène nécessaires afin d’éviter de réveiller nos séquences pathogènes, la sélection naturelle aboutira peu à peu -logiquement et paradoxalement- à renforcer les capacités d’une fraction intelligente et sensible de l’humanité de façon à la préparer à retrouver sa dimension d’origine. D’après le calendrier maya et d’autres sources, une telle opportunité devrait se produire vers la fin de l’année 2012. Des informations circulant actuellement dans le réseau IP indiquent que nous serons bientôt aidés à réactiver certaines séquences oubliées de notre ADN afin de nous transformer, de nous libérer de notre assujettissement actuel et de protéger notre planète Terre si convoitée dans l'univers.
 Nous sommes tous des Reptiliens !
Le problème est complexe car si nous vivons dans un véhicule physique ainsi vérolé et bridé, il se peut que notre âme actuelle ait été obligée de s'y incarner à la suite d’erreurs commises autrefois en tant que psychisme ayant vécu dans un corps d’Annunaki ou d’une autre entité reptilienne! A mon avis, nous portons la marque reptilienne aussi bien dans notre ADN manipulé que dans notre psychisme. En voyant la mentalité de "caïmans" de certains humains actuels, je pense que la punition et la chute bibliques s'expliquent par la nécessité d’un purgatoire terrestre pour les âmes dégénérées qui ont animé des Reptiliens (ou des Félidés ou d’autres êtres de notre dimension) mais qui ont accumulé trop de karma négatif.
De même que notre génome est à 98 % de l'ADN-Poubelle, notre planète est devenue un camp de redressement apparemment magnifique mais peut-être bien inférieur à ce qui serait possible ailleurs, dans la dimension de l’Homme Primordial, de l’être humain originel dont il est question ci-dessus. Tant qu’elles n’ont pas "viré leur cuti" par l'expérience et la connaissance acquises sur la Terre, la plupart des âmes humaines incarnées ici ne sont guère meilleures que celles de ceux qui nous contrôlent et qui sont nos propres frères et sœurs psychiques. Compte tenu de leurs erreurs manifestes, nos actuels "contrôleurs" reptiliens feront sans doute aussi leur stage ici quand leur tour viendra. Dans cette optique et conformément à la tradition gnostique, le corps physique -noir, blanc, à écailles, à plumes ou à fourrure- n'est finalement qu'un masque, qu'un simple véhicule biologiquement adapté à la planète où les âmes doivent s'incarner afin de retrouver la Source dont elles se sont éloignées, "afin qu'il ne se perde plus une seule brebis." (Jér. 23.4).
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